C’est faire le choix de découvrir et d’accueillir une réalité parfois très éloignée de la sienne pour bâtir des ponts entre les cultures. C’est ce que témoigne Sœur Monica, partenaire de la mission Fidesco le Petit Baobab à Abidjan [Côte d'Ivoire], en parlant des volontaires avec lesquels elle travaille : « Ce qui est bon, c’est leur acculturation ; c’est aussi le sens de leur mission ! Le fait que les volontaires laissent leurs familles, leur pays pendant deux ans, c’est quelque chose qui nous ouvre un monde différent et cela nous aide les uns les autres, surtout les enfants, à vivre dans un monde plus fraternel ».

Partir en mission au loin a-t-il encore un sens ?

Chaque année, une centaine de volontaires Fidesco choisissent de quitter leur confort pour se lancer dans une aventure humanitaire, spirituelle et professionnelle à l’autre bout du monde. Alors, pourquoi partir si loin ?